How Carbon Markets can deliver to the front lines of the Climate Crisis

Nations across the Global South face a pressing dilemma: balancing economic growth with the urgent need to reduce climate pollution. As climate change continues to cause widespread disruption, it’s crucial for these countries to develop sustainably, which requires substantial financial resources.

Carbon markets, where companies buy credits to fund projects like clean energy and forest conservation, present a viable solution. Success stories from countries like Guyana and Ghana show how these markets can benefit local communities and support sustainable development. Despite past flaws, improved guidelines and market reforms offer hope.

To realize the potential of carbon markets, we need innovative funding approaches, corporate commitment to reducing emissions, and strong support from the environmental community.

For more insights and detailed analysis, we invite you to read the full article published by Time magazine: https://time.com/collection/time-co2-futures/6977413/carbon-markets-global-south/

BY Fred KRUPP and video by Andrew D. JOHNSON

Des arbres pour l’avenir de nos athlètes !

Sous l’impulsion de Romane Miradoli, leader de l’équipe de France de ski alpin, et de ATHYS, le Team « Athlètes Responsables » a l’ambition d’impliquer les jeunes sportifs dans des actions concrètes afin de compenser les émissions carbone dues à leur activité.

Dans l’immédiat, l’objectif est de planter des arbres ! La reforestation est en effet le moyen le plus efficace et économique pour capturer le carbone de l’atmosphère et restaurer la biodiversité.

Le 3 novembre, Romane Miradoli, ses fans et les jeunes du club des sports de la région se sont retrouvés dans la forêt privée de Magland, en vallée d’Arve (pays du Mont-Blanc), qui fut dévastée par une tempête lors de l’été 2019. Romane était accompagnée de Loan Bozzolo (Équipe de France de snowboard), César Beauvais (Équipe de Belgique de biathlon) et Mario Clément-Lenoir (Equipe de France de snowboard) pour planter 500 arbres dont la diversité répond aux conditions du changement climatique.

L’opération de plantation est la première d’une série qui réunira de nombreux autres athlètes.

Le programme de plantation est géré avec l’Association des propriétaires forestiers de Magland (ASLGF de Magland) et le Centre National de la Propriété Forestière (CNPF).

TV8 Mont-Blanc / Journaliste : Kézia Poudou

ATHYS becomes an active member of the « Mesa de Carbono Forestal Nacional » whitch is an initiative to the contribution to the Development of Carbon Markets in Argentina.

The Mesa de Carbono Forestal Nacional (MCFN) is currently comprised of approximately 30 companies, individuals and institutions focused on the Argentine forestry sector. Its members work in conservation, improved management and restoration of native forests and forest production, representing 80% of the country’s forest plantations. The MCFN is made up of the vast majority of companies and individuals that are currently developing, implementing and commercializing carbon sequestration projects in both native forests and forest plantations in the country, as well as the Argentine Forestry Association and the Argentine Rural Society.

Sous l’impulsion d’ATHYS, la fondation Somfy a réuni 70 volontaires qui ont planté 2 000 arbres

Lundi 7 et mardi 8 novembre, sous l’impulsion d’ATHYS, la fondation Somfy, les réseaux FLO palettes et Green, la mairie de Magland et l’ONF ont commencé à reboiser la forêt communale en face du Mont-Blanc.

70 volontaires ont planté 2 000 jeunes pousses de mélèzes et de pins sylvestres L’effet colibri sans doute, mais aux esprits chafouins qui diront que c’est une goutte d’eau face au désastre de la tempête de 2019, chaque planteur pourra répondre, tel le colibri du conte amérindien, cher à Pierre Rabhi, qui faisait remarquer qu’il n’arriverait jamais seul à éteindre le feu de la forêt : « Je sais mais je fais ma part ».

L’ONF l’annonce : l’initiative de fondation Somfy est de loin la plus ambitieuse. Son directeur, Etienne Bourgeois : « C’est la première fois que la fondation Somfy travaille directement pour l’environnement, dans le cadre de son action “Mieux habiter la planète”.

Si l’on laisse faire la nature, la forêt se reconstituera, mais seulement dans une cinquantaine d’années, affirme Oliver Gough de l’ONF. Il faut donc reboiser en tenant compte avec le changement climatique, y a de gros dépérissements sur des essences comme l’épicéa, le hêtre et le sapin. Les arbres, affaiblis par les fortes sécheresses, sont attaqués et décimés par les insectes scolytes et certaines espèces sont plus sensibles que d’autres. D’où le choix d’essences plus résistantes aux écarts de températures, comme le mélèze et les pins sylvestres (aux graines cultivées dans le Morvan).

Climate impact on forest fires

climate impact on forest fires

Summer fires aren’t unusual. But climate change means they’ve scorched Western Europe and California much earlier than usual this year, destroying tens of thousands of acres of land and causing massive evacuations as some places record their hottest temperatures ever.

Biodiversity and Mining Governance

Biodiversity and Mining Governance

The integration of biodiversity and ecosystem protections into mining policy and legislation has emerged from an increased and expanding understanding— from the public, governments, and corporations—of ecological processes and ecosystem services; the economic importance of nature-based tourism; the close links between environmental health and community support for mining projects; and the operational and reputational risks that can result from destroyed, degraded, or disturbed biodiversity.

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About Monkeypox virus

About Monkeypox virus

Climate change is likely to exacerbate the rapid spread of viruses and pathogens as humans encroach on the natural world.
By
John Vidal is a former Guardian environment editor

The big lesson of Covid – and now of monkeypox – is that much infectious disease has its roots in ecological change. That means the health of the planet and the health of humans and must be considered alongside that of animals. It also means we should prepare now for the unexpected, invest in public health as never before, stop cutting down the forests, address climate change and phase out intensive farming. A “one health”, planetary approach to health is the best – and possibly the only – hope we have.

https://www.theguardian.com/commentisfree/2022/may/25/monkeypox-disease-climate-change